Tout savoir sur : Le HTC Desire 210 apparaît officiellement en Inde
L’une des remarques les plus critiques concernant la stratégie de HTC sur le début d’année 2013 fut d’avoir mis tous ses oeufs dans le même panier avec le premier One. Comme ce dernier ne s’est pas si bien vendu, malgré des qualités techniques et ergonomiques indéniables, le constructeur s’est retrouvé dans une position financière délicate.
Peter Chou a cependant analysé les critiques et les suggestions des analystes financiers et a mis un coup d’accélérateur sur l’implication de la marque sur les marchés asiatiques porteurs, comme la Chine et l’Inde. D’où le lancement d’une multitude de smartphones dans la gamme Desire.
Un smartphone en bas de l'entrée de gamme
Depuis le début de l’année, les modèles s’enchaînent : 816, 610, 316, 310 et maintenant le Desire 210, dévoilé en Inde en début de semaine. La configuration technique se situe encore en dessous de celle du Desire 310. L’écran n’atteint maintenant que les 4 pouces en taille et le WVGA en définition (800 x 480 pixels).
Le chipset provient une fois encore de MediaTek. Le modèle est le MT6572M, lequel dispose de deux coeurs Cortex-A7 cadencés à 1 GHz et un GPU Mali 400. Le chipset est ici adossé à 512 Mo de mémoire vive, 4 Go de stockage interne (extensible par microSD) et une batterie de 1300 mAh. Côté photo, le capteur principal atteint les 5 mégapixels et la webcam 0,3 mégapixel.
Évidemment, deux ports carte SIM sont intégrés, dont une seule en 3G. Les connectivités annexes sont classiques : WiFi et Bluetooth 4.0. Le smartphone est animé par Android Jelly Bean 4.2.2 affublée d’une version allégée de la surcouche Sense.
Un prix qui flirte avec les 100 euros hors subvention
Le prix du Desire 210 devrait être à la hauteur de cette configuration technique, c’est à dire limitée. HTC indique qu’il vendra le mobile hors subvention à 8700 roupies, soit 103 euros environ. La sortie est prévue pour la fin du mois d’avril, donc d’ici la fin de la semaine prochaine. Pas de sortie internationale évoquée, même s’il parait évident que la Chine devrait en profiter. Pour l’Europe, rien n’est moins sûr.
