Tout savoir sur : Les montres connectées interdites aux épreuves du Bac
Disponible sur le marché grand public depuis plus d'un an et demi, la montre connectée est devenue un véritable objet du quotidien. Même si le nombre de ventes n'a pas vraiment explosé, il a tout de même été sérieusement boosté par l'arrivée sur le marché de l'Apple Watch le mois dernier. Et signe que la montre connectée gagne en popularité : son utilisation fait désormais l'objet d'interdictions.
Nous publiions en effet hier l'histoire de l'automobiliste canadien qui s'est fait verbaliser pour avoir utilisé son Apple Watch au volant de son véhicule. Il a même reçu une amende de 120 dollars et 4 points de retrait sur son permis de conduire par la Sûreté du Québec, qui a estimé que la montre connectée du conducteur était un « appareil mobile doté d'une fonction téléphone », et que son utilisation était par conséquent interdite au volant.
Mais le cadre juridique reste flou autour de son utilisation et les autorités ne devraient pas tarder à légiférer en ajoutant une mention spécifique pour que ce nouvel objet soit interdit au volant.
Interdite aux épreuves du Bac blanc
L'Education Nationale a quant à elle pris les devants puisque comme nous le rapporte Mac4Ever, elle a d'ores et déjà interdit l'utilisation de la montre connectée aux épreuves du Baccalauréat. Ainsi, comme indiqué dans les instructions des épreuves anticipées du diplôme que vous pouvez voir ci-dessous :
« Les téléphones portables « smartphones », tablettes tactiles, les montres connectées, et de manière générale, tout appareil doté d'une mémoire électronique permettant la consultation de fichiers doivent impérativement être éteints et rangés dans le sac du candidat. »
Il est bien indiqué que les smartwatches seront interdites. D'ailleurs, pour tous les petits malins qui souhaiteraient dissimuler leurs appareils électroniques sachez que « toutes les académies seront désormais équipées de détecteurs de téléphones portables (dont le nombre et l’emplacement sont confidentiels) » et « ils circuleront de façon aléatoire dans les lieux d’examen ».
Les candidats vont donc devoir s'en tenir à la bonne vieille méthode des révisions s'ils veulent réussir leurs épreuves...