La principale activité d'Asus est l'informatique, et cela se remarque assez facilement dans sa gamme de smartphones. L'approche est très similaire. Chaque modèle ou presque est proposé avec plusieurs configurations. Le ZenFone Max était l'une des rares exceptions mais ce n'est désormais plus le cas. Deux nouvelles versions viennent d'être dévoilées en Inde. Une bonne chose pour ceux qui en attendent autant sur le plan de l'autonomie que sur celui des performances, la première version manquant un peu de chevaux sous le capot.
Au revoir le Snapdragon 410, bonjour le Snapdragon 615
Les nouveaux ZenFone Max apportent ainsi un nouveau chipset. C'est le même dans les deux cas et il s'agit du Snapdragon 615 déjà présent dans de nombreux ZenFone. Au programme : un CPU octa-core Cortex-A53 cadencé à 1,5 GHz et un GPU Adreno 405. De quoi délivrer des performances bien supérieures à celles du Snapdragon 410 de l'unique modèle que nous connaissions jusqu'ici. Et ce n'est pas tout. L'espace de stockage est également doublé au passage (32 Go) alors que la RAM passe à 3 Go sur l'un, mais reste à 2 Go sur l'autre.
De nouveaux coloris et Android Marshmallow au sortir de la boîte
Soulignons enfin que les nouveaux modèles sont proposés en bleu et orange, en plus du blanc et du noir, et livrés avec Android 6.0.1 Marshmallow, ce qui n'est pas le cas de l'autre. Même si la mise à jour est prévue, c'est toujours ça de pris. Pour le reste, tous les ZenFone Max sont logés à la même enseigne. Nous retrouvons ainsi la batterie colossale de 5000 mAh, mais aussi l'écran HD de 5,5 pouces et les appareils photo de 13 et 5 mégapixels avec autofocus laser pour le premier.
Inutile de dire que les ZenFone Max sous Snapdragon 615 sont un peu plus chers que celui sous Snapdragon 410, c'est évident. La différence reste toutefois légère, en Inde au moins. Il faut y ajouter une quinzaine d'euros pour la version 2 Go et une cinquantaine pour la version 3 Go, soit l'équivant de 135 et 170 € environ. Reste désormais à savoir si ces nouvelles versions arriveront aussi chez nous... Ce serait une bonne chose mais c'est loin d'être gagné.