Tout savoir sur : La Samsung Galaxy Watch arrive progressivement en précommande
En fin de semaine, vous serez en mesure d’acheter le dernier flagship en date de Samsung, le Galaxy Note 9. Véritable concentré technologique dont les qualités techniques ne cessent d’être citées par les sites spécialisés à travers le monde (comme chez DisplayMate qui, la semaine dernière, a accordé à l’écran du smartphone la meilleure note jamais obtenue), ce nouveau porte-étendard coûte aussi très cher. Ce qui ne l’empêche pas d’attirer les clients puisque les précommandes se portent bien (mieux en tout cas que celles du Galaxy S9 et du Galaxy S9+). Nous reviendrons vendredi 24 août sur le prix du téléphone aussi bien en open-market que chez les opérateurs.
Changement de nom
Présenté en début de mois à l’occasion d’une conférence Unpacked organisée à New York que nous avons suivi pour vous, le Galaxy Note 9 n’était pas la seule star à y être attendue. Il y avait aussi un accessoire connecté : la Galaxy Watch. Elle succède à la gamme Gear S3 (qui se décline en S3 Classic et S3 Frontier, pour rappel), officialisée il y a deux ans. Elle se veut naturellement être la principale alternative aux Apple Watch (dont une nouvelle itération est attendue en septembre). Ce qui explique certainement d’ailleurs le changement de dénomination commerciale (de Gear à Galaxy Watch). La montre arrive ces jours-ci en précommande un peu partout dans le monde. L’occasion de revenir sur ce produit et ses spécificités techniques.
Les fuites avaient largement éventé sa venue à New York, dévoilant quelques-unes de ses spécificités techniques. Notamment le fait que la Galaxy Watch fonctionne toujours sur Tizen et non sur Wear OS, malgré l’intégration du mot « Galaxy » dans son nom (qui fait référence aux terminaux sous Android). Malgré une certaine attractivité commerciale (notamment le Play Store et ses nombreuses applications), Samsung continue de supporter son système d’exploitation, en espérant un jour qu’il sera assez mature pour remplacer Android dans les smartphones d’entrée de gamme.
Deux tailles de boiter
Techniquement, la Galaxy Watch se décline en deux modèles avec boitier rond étanche (IP68 et MIL-STD-810G) en acier inoxydable de 42 mm ou de 46 mm. L’écran mesure respectivement 1,2 pouce ou 1,3 pouce. La dalle, d’une définition de 360 pixels sur le diamètre, est Super AMOLED. Elle est protégée par du verre Gorilla DX+ de Corning. La bordure autour de l’écran est rotative et deux boutons mécaniques sont présents sur la tranche. Les cornes de fixation des bracelets sont standardisées (20 mm et 22 mm de largeur, respectivement).
À l’intérieur, nous retrouvons un chipset Exynos 9110 de Samsung (dual-core cadencé à 1,15 GHz), 4 Go de stockage interne, de 765 Mo à 1,5 Go de mémoire vive selon les versions (la version LTE est la mieux lotie). La connectivité inclut un modem 3G /4G optionnel, un modem WiFi n, un capteur Bluetooth 4.2, un capteur GPS (Glonass), un capteur NFC et un capteur Samsung Pay. La carte SIM est au format e-SIM. La batterie affiche une capacité de 270 mAh pour la version 42 mm et de 472 mAh pour la version 46 mm. Dans les deux cas, l’autonomie annoncée est de trois jours. Elle se recharge grâce un chargeur sans fil.
A partir de 309 euros
Son prix est de 309 euros en version 42 mm WiFi seul et de 329 euros en version 46 mm WiFi seul. Les prix des versions LTE n’ont pas encore été communiqués. Elle ne sera pas en vente en France le 24 août, mais le 7 septembre. Soit une petite quinzaine de jours de décalage entre la phablette et la montre. Les précommandes démarrent aujourd’hui et courent jusqu’à la veille du lancement commercial. Pour toute précommande Samsung offre un chargeur sans fil permettant de charger deux appareils simultanément.
