Une place peu flateuse, surtout que la France se classait encore au quatrième rang en 2007. Selon le quotidien Les Echos, la France a la particularité de favoriser les consommateurs les plus bavards avec des forfaits incluant de l'illimité, mais de faire payer cher l'accès au mobile aux clients les moins gourmands. La Commission relève d'ailleurs que le taux de pénétration du mobile n'est que de 88,4 % dans l'Hexagone contre 119 % en moyenne dans l'Union.
Par ailleurs, Bruxelles remarque que les opérateurs mobiles virtuels (MVNO) peinent à concurrencer les opérateurs historiques : avec 5,8 % du marché (contre 4,2 % un an plus tôt), leur place est marginale.