Le BlackBerry est en perte de vitesse face à l'iPhone et la vague de terminaux Android qui déferle depuis déjà plusieurs mois, et qui font très mal au fabricant canadien. Ce-dernier a préféré se concentrer sur sa nouvelle tablette PlayBook plutôt que de renouveler sa gamme de smartphones.
Du coup, RIM a pris du retard et se voit contraint de tailler dans ses effectifs, anticipant des résultats inférieurs à ceux attendus. « La réduction des effectifs est une étape prudente et nécessaire pour le succès à long terme de la compagnie », se contente d'expliquer RIM.