La série Optimus L est parfaitement adaptée à ce marché. Du petit L3 au gros L9, sorte de Galaxy S2 sous hormones, en passant par les modèles milieu de gamme que sont le L5 et le L7, LG a parfaitement couvert tous les besoins éventuels des clients adeptes du renouvellement. Force est de constater que la manœuvre a fonctionné, car ces smartphones qui ne sont même pas tous sous Android 4.0 ont cumulé aujourd’hui 10 millions d'unités vendues.
Cela n’est pas rien pour des objets qui ne reçoivent pas toute l’attention des médias spécialisés et du public technophile, un signe supplémentaire qui indique que le marché du smartphone Android ne se structure pas sur le haut de gamme. Ces 10 millions d’Optimus L sont la preuve qu’il n’aura fallu que quelques années à Android pour devenir un objet de consommation grand public – et un adversaire désormais redoutable pour tous les concurrents, qu’ils se nomment Windows Phone 8, Blackberry 10 ou Tizen.