Samsung a, semble-t-il, passé un nouveau cap dans la conception d'une architecture de processeur mobile. La technologie big.LITTLE, mise à l'épreuve, a tenu ses promesses : en gravant un processeur ARM Cortex-A7 à 14 nm au lieu des 32 actuels, le constructeur a réussi à atteindre de meilleures performances tout en réduisant la consommation d'énergie. C'est pile ce qu'il nous faut pour alimenter les smartphones récents : des puces véloces et non énergivores.
Ambitieux, le Coréen promet des performances pouvant rivaliser avec les ordinateurs de bureau. Même si l'on se permet aujourd'hui de douter, il faut reconnaître que l'argument commercial fait frétiller notre glande technophile. A voir dans combien de temps des modèles commerciaux pourront être développés et intégrés dans de véritables appareils.