Parmi les mobiles que nous avons sélectionnés sous la marque Xiaomi, les Xiaomi 12X et Xiaomi 12T ont des points communs notamment au niveau des profils. Ils disposent d’une plaque, dans le dos pour accueillir les capteurs photo, reprenant le coloris du reste de la coque arrière pour une meilleure harmonie visuelle. Le Redmi Note 12 Pro+ utilise également une plaque pour les capteurs avec la même teinte, légèrement plus large. Le POCO F5 propose un dos extrêmement épuré avec des capteurs qui semblent juste posés. Le POCO X5 Pro, pour sa part, dispose d’une plaque colorisée qui se prolonge par la même teinte sur la largeur. Plusieurs coloris sont proposés, pour chaque modèle, que chacun appréciera. De tous, c’est le Redmi Note 12 Pro+ qui est le plus lourd avec un poids qui dépasse les 200 grammes, pour 210 grammes exactement sur la balance. Ensuite, il y a le Xiaomi 12T avec un poids de 202 grammes puis les POCO F5 et POCO X5 Pro qui font 181 grammes et pour finir le Xiaomi 12X qui ne fait que 176 grammes. Ce dernier est aussi le plus compact de tous les mobiles que nous avons sélectionnés et donc celui qui occupera le moins de place en poche ou dans un sac. À contrario, c’est le Xiaomi 12T qui est le plus grand.
Pour l’autonomie, le Xiaomi 12X a une batterie de 4500 mAh alors que tous les autres bénéficient d’un peu plus avec 5000 mAh. Les Xiaomi 12T et Redmi Note 12 Pro+ supportent la charge à 120 watts, donc très rapide, bien plus que les 67 watts supportés par les trois autres. Si vous aimez recharger sans fil, c’est le Xiaomi 12X qu’il faut choisir puisqu’il offre cette possibilité ainsi que la charge inversée.
Lequel est le plus puissant et quels écrans ?
Si vous cherchez le mobile Xiaomi le plus puissant de notre comparatif, c’est le Xiaomi 12T qui domine les débats avec son chipset MediaTek Dimensity 8100 Ultra associé à 8 Go de mémoire vive. Ensuite, il y a le POCO F5 avec un processeur Qualcomm Snapdragon 7+ Gen 2 avec 8 ou 12 Go de mémoire vive suivi par le Xiaomi 12X avec un Soc Qualcomm Snapdragon 870 et 8 Go de RAM puis le POCO X5 Pro avec un processeur Snapdragon 778G et pour finir le Redmi Note 12 Pro+ qui utilise une puce Dimensity 1080 avec 8 de mémoire vive.
Pour les écrans, c’est assez simple. Tous utilisent des dalles AMOLED. Seul le Xiaomi 12X a un écran de 6,28 pouces, donc plus petit que les 6,67 pouces de tous les autres. Ils sont compatibles HDR10+ et, pour le Xiaomi 12X, POCO F5 et Redmi Note 12 Pro+, supportent également le format Dolby Vision. Tous utilisent une fréquence de rafraîchissement maximale de 120 Hz. Le taux d’échantillonnage tactile est de 480 Hz pour les Xiaomi 12X et Xiaomi 12T permettant de prendre l’avantage dans les jeux car plus réactifs à la commande.
Quelles configurations pour les photos et quelle connectivité ?
Pour réaliser des photos, le mobile le mieux équipé est, sur le papier, le Redmi Note 12 Pro+ avec son capteur principal de 200 mégapixels stabilisé optiquement et ses deux capteurs secondaires de 8 et 2 mégapixels. C’est presque la même configuration qu’au dos du Xiaomi 12T avec, cette fois, une caméra principale de 108 mégapixels aussi stabilisé optiquement pour limiter les bougés. C’est le même bloc que sur le POCO X5 Pro mais avec un capteur principal non stabilisé. Le POCO F5 propose, lui, une configuration de 64+8+2 mégapixels stabilisé. Enfin, le Xiaomi 12X embarque un capteur de 50 mégapixels accompagné d’un module de 13 mégapixels pour les prises de vue en mode ultra grand-angle et d’une caméra de 5 mégapixels. C’est ce dernier qui a le plus gros capteur à selfie, disposant de 32 mégapixels contre 20 mégapixels à l’avant du Xiaomi 12T et 16 mégapixels pour les trois autres.
Enfin, concernant la connectivité, tous sont compatibles 5G. Seul le POCO X5 Pro propose du Wi-Fi 5, moins performant que le Wi-Fi 6 des autres. Les Xiaomi 12T et Xiaomi 12X n’ont pas de port audio jack et disposent d’un lecteur d’empreinte digitale sous l’écran alors qu’il est placé sur le bouton de mise en veille pour les trois autres. Tous ont un émetteur infrarouge, sur le profil supérieur, pour en faire une télécommande universelle.